|  
             Une vie 
              de chien 
             
              Tu me demandes à boire, à moi une femme Samaritaine 
              ? (Jean 4, 9). 
               
               
              Un grand chien entra dans une boucherie portant une bourse dans 
              la gueule. Il dépose la bourse à terre et sassied 
              juste devant le comptoir de viande. 
              « Quy a-t-il copain
 
              lui lance dun ton farceur le boucher : Veux-tu acheter un 
              morceau de viande ? » 
              « Woof, Woof » répond 
              le chien. 
             
              Le boucher surpris emballe la viande et 
              trouve largent dans la bourse à terre. 
             
              Quand le chien quitte le magasin, le boucher 
              décide de le suivre. Le chien, au bout de la rue, entre dans 
              un building, monte au 3e étage et commence à gratter 
              à une porte. 
             
              Quand enfin la porte souvre, cest 
              sur un homme en colère qui commença à crier 
              sur le chien. 
             
              « Arrêtez » dit le boucher, 
              « cest le chien le plus intelligent que jaie jamais 
              vue! » 
             
              « Intelligent ? réplique 
              lhomme. Pourquoi ? Cest la 3e fois cette semaine quil 
              oublie sa clef ! » (Connections, mars 1996). 
             
            LIEN : Nous avons de grandes attentes vis-à-vis 
              des autres, souvent beaucoup trop. Et les déceptions alors 
              nen finissent plus de surgir que ce soit vis-à-vis 
              de notre conjoint, nos enfants, nos parents, nos collègues 
              de travail, nos voisins. Nos « standards » de ce qui 
              est correct et approprié conduisent certaines personnes de 
              notre entourage à sisoler et dans le fond nous acceptons 
              cet éloignement. 
              La samaritaine est une victime de cette 
              attitude. Aux yeux du judaïsme, sa religion, sa nationalité 
              font delle une non-personne. son style de vie la transformée 
              en paria. Tout en questionnant celui-ci, Jésus appelle la 
              samaritaine à redonner sens à sa foi et par là, 
              à sa joie pour la rendre capable de recréer sa vie. 
              En racontant à tous sa rencontre 
              avec Jésus, elle devient une source de foi et de renouveau 
              pour les autres.      
              Cherchons à dépasser les 
              erreurs des autres, à voir et susciter le meilleur en eux 
              pour quils puissent lutiliser comme des cadeaux pour 
              le bien de tous (Connections, mars 1996). 
              
            Chronique 
              précédente : 
              Le magasin de vérité 
              
              |